Problèmes de concentration ? Causes et lien avec le Design humain

L’autre jour, je suis tombée sur la proposition d’un super blog, dharmalyon proposé par Samantha, de partager un article sur le thème “Sortir de la dispersion”

J’ai ri en découvrant cette thématique ! Moi qui suis la reine de la dispersion et qui me suis lancée dans la mission de retrouver un peu de focus et de développer ma concentration, quelle chouette occasion de partager mes découvertes du moment avec vous et avec les lecteurs de son blog ! (D’ailleurs, sur ce chemin d’exploration des vertus de la concentration, j’ai découvert le Yoga Nidra, et Samantha a justement écrit un article hyper intéressant sur ce sujet, tu peux le découvrir ici !)

Bon, trêve de bavardage, entrons dans le vif du sujet : faire face au manque de focalisation et développer notre concentration… Sujet que je vais évidemment relier au Design humain à la fin de l’article 🙂
Bien sûr, il y a des causes évidentes à un trouble de la concentration : la fatigue et le manque de sommeil, le stress chronique, l’anxiété, voire des troubles du déficit de l’attention avec ou sans l’hyperactivité (ou tdah) chez certains. Nous avons tous fait l’expérience des symptômes d’une dette de sommeil : notre esprit manque d’énergie, notre mémoire est défaillante, nous avons de la difficulté à être efficaces dans notre travail… Mais en dehors de ces facteurs, y aurait-il des fonctionnements intrinsèques à notre cerveau qui engendreraient des problèmes de concentration ?

 

Pourquoi avons-nous des problèmes de concentration : les causes

Tu vas peut-être ouvrir de grands yeux quand tu vas lire ça, mais, à la base, nous ne sommes pas faits pour nous concentrer longtemps et intensément sur une seule chose

Ben oui : la biologie de l’être humain n’a pas beaucoup changé depuis que nous vivions dans des cavernes, alors que notre quotidien, lui, a évolué à vitesse grand V !

Lorsque (dans tes vies antérieures si tu y crois ;-)) tu étais un homme ou une femme des cavernes, ton plus grand souci quotidien était simplement de survivre. Survivre aux grosses bêtes sauvages qui auraient pu trouver ta caverne accueillante… Survivre aux petites bêtes venimeuses sur lesquelles il valait mieux ne pas marcher… Survivre en trouvant chaque jour de quoi manger, ce qui impliquait de bouger beaucoup plus qu’aujourd’hui… Bref, nos ancêtres avaient surtout besoin d’être capables de rediriger leur attention d’une chose à une autre rapidement pour être sûrs de ne pas manquer ce qui pourrait être une menace pour leur survie ou une opportunité vitale.

Nous ? Ce n’est plus notre cas. Fini les bêtes sauvages et la nourriture difficile à trouver (sauf dans certaines zones de notre belle planète, malheureusement…), nous n’avons plus besoin d’être constamment sur le qui-vive comme nos ancêtres. Et pourtant, notre biologie et notre cerveau ont gardé ce mode de fonctionnement.

 

Le biais de nouveauté qui nous pousse à la dispersion mentale

Ce que je viens de te raconter à propos de nos ancêtres découle de ce qu’on pourrait appeler un “biais de nouveauté” : notre cerveau nous récompense par de la dopamine (notre hormone du plaisir immédiat…) lorsque nous déplaçons notre attention sur une nouvelle tâche. C’est pour cela que tu as tellement envie de lire cet email qui vient d’arriver alors que tu es concentré sur ton travail, ou que ta main est irrésistiblement attirée par ton smartphone lorsque tu es censé rester focalisé sur quelque chose de difficile.

Autant nos ancêtres avaient besoin de chercher de la nouveauté dans leur environnement, comme on l’a déjà dit, autant cette tendance est terriblement contreproductive lorsque nous cherchons à nous concentrer dans notre monde moderne !

 

Le résidu attentionnel : ton cerveau qui s’encombre

Non seulement nous sommes poussés par notre biologie à rechercher du nouveau et à passer d’une tâche à l’autre, mais ces comportements encombrent notre cerveau. Résidu attentionnel qui cause la dispersion mentale

Lorsque tu passes d’une tâche A à une tâche B, ton attention ne passe pas immédiatement et à 100% sur cette nouvelle tâche. Il y a comme un “résidu” d’attention qui reste attaché à la première tâche, même si tu l’as terminée. Lorsque tu cherches à te concentrer sur quelque chose d’important, mais que tu te distrais constamment avec d’autres choses, c’est comme si tu y laissais à chaque fois un petit bout de ton pouvoir d’attention. Et comme ton attention est une denrée limitée, il t’en reste moins pour ce qui est vraiment important.

 

Un monde qui nous pousse à la distraction

Le biais de nouveauté et le résidu attentionnel sont deux concepts parmi d’autres qui illustrent le fait que la distraction et la dispersion sont nocives pour notre attention et notre concentration.

Le problème ? Dans notre monde moderne, TOUT nous pousse à la distraction !

Je ne sais pas dans quel type de milieu professionnel tu travailles, mais dans beaucoup de situations, tout pousse les employés à se laisser distraire d’une tâche sur laquelle ils sont censés se concentrer : le fait de travailler dans des espaces ouverts, à la merci du bruit et du mouvement, le fait d’être constamment sollicités par des emails auxquels on est censé répondre rapidement, et c’est encore pire quand la communication a lieu par messagerie instantanée.

Et dans notre vie personnelle également, notre monde ultra-connecté ne nous laisse plus le moindre espace de vide. Nos smartphones nous accompagnent souvent jusqu’aux toilettes et nous avons à notre portée un monde infini de sollicitations. Fini l’ennui, il y a toujours quelque chose à lire, à regarder, des nouvelles à découvrir et des flux de notifications sans fin sur les réseaux sociaux.

En fait, la dispersion est devenue un vrai trouble parce que notre monde et notre environnement nous empêchent de nous concentrer de manière longue et durable sur une chose…

Ceci est valable dans le monde des adultes, mais qu’en est-il des enfants ? Lorsque je vois les jeunes que je côtoie au quotidien avec un smartphone dans les mains dès qu’ils ont un temps mort, je me dis que les troubles de la concentration ont encore de beaux jours devant eux…

 

Pourquoi vouloir sortir de la dispersion ?

C’est une bonne question : si c’est si agréable de se laisser distraire et que cela réjouit notre cerveau grâce aux hormones du plaisir, pourquoi ne pas simplement se laisser aller ?

En réalité, faire les choses en profondeur a :

  • du sens, parce que
    • ce sur quoi tu portes ton attention construit ta vision du monde : si tu te focalises sur des choses importantes et porteuses de valeur, ton monde à toi sera plus riche et nourrissant ;
    • le sentiment de faire les choses en profondeur est gratifiant (je ne sais pas si tu t’es déjà senti “dans le flow” en te concentrant sur une activité passionnante en profondeur, c’est un des meilleurs ressentis du monde !) ;
    • quand tu fais quelque chose avec profondeur, tu développes ton habileté et c’est satisfaisant d’être compétent.
  • de la valeur : si tu sais te concentrer en profondeur sur les choses qui ont de l’importance, tu possèdes un immense avantage sur la grande majorité des personnes qui t’entourent ! Cela te permet de développer rapidement la maîtrise de tâches difficiles et cela et permet de produire un travail rapide et de qualité.

 

Comment se concentrer

 

Autrement dit, s’attaquer à nos problèmes de concentration et ne pas se laisser aller dans un monde plein de distraction en vaut vraiment la peine ! Regardons comment :

 

Quelles solutions pour nos problèmes de concentration ?

En fait, c’est très simple : pour solutionner nos troubles de concentration, il faut réapprendre à nous concentrer et nous y entraîner !

 

Entraîner notre concentration comme un muscle

Notre capacité à nous concentrer fonctionne de la même manière que nos muscles : il ne te viendrait pas à l’idée de te lancer dans un effort physique hyper intense avec des muscles tout froids, n’est-ce pas ? Lorsque nous devons faire un effort physique, disons une bonne séance de fitness, nous commençons par nous échauffer avant de nous lancer dans la séance proprement dite, puis nous prenons un temps de retour au calme à la fin. Il en va exactement de même pour notre concentration : impossible de passer de zéro à 100% de concentration en un instant ! Notre attention a besoin d’un moment d’échauffement avant de pouvoir être à son maximum, pour une séance de travail par exemple. Après quoi, elle a besoin de se reposer, tout comme notre corps.

Tu comprends donc que l’idée que tu devrais être capable d’être totalement concentré dès que tu le désires et aussi longtemps que tu le désires sans repos ne tient pas… Il faut être réaliste et prendre soin de ton attention comme de tes muscles, sinon bonjour les troubles de la concentration et/ou les blessures musculaires !

 

Comment entrainer sa concentration

 

Résister aux distractions et revenir à l’attention

De plus, durant le temps où nous désirons nous concentrer, nous n’avons qu’une envie : nous laisser déconcentrer par quelque chose de bien plus attirant que la tache que nous avons devant nous. Tout l’exercice pour réapprendre à se concentrer est celui-ci :

  • identifier lorsque nous sommes distraits et
  • revenir à la tache que nous nous sommes fixée.

Si tu pratiques la méditation, cela devrait allumer une petite ampoule dans ta tête 🙂 En effet, c’est exactement la même consigne que les débutants en méditation reçoivent : choisir un objet de méditation, poser son attention dessus, identifier lorsque nous avons perdu cet objet, car nous en avons été distraits, et reposer notre attention sur cet objet. Autrement dit, revenir, revenir, revenir encore et encore à l’attention sur notre point de focalisation.

Et si tu aimes les explications scientifiques, en voilà une : biologiquement, ton cerveau développe plus de myéline autour des neurones qui travaillent sur une compétence si tu répètes cet effort encore et encore. La myéline est une membrane de graisse qui protège et isole les fibres nerveuses et qui aide à la transmission de l’influx nerveux (c’est pour cela que les maladies qui s’attaquent aux gaines de myéline causent toutes sortes de problèmes nerveux et de troubles moteurs…). En exerçant délibérément ton attention et ta concentration, tu renforces cette compétence dans ton cerveau ! Et si tu essaies de te concentrer sur quelque chose avec plein de distractions qui t’interrompent (tes notifications insta sur ton téléphone par exemple…), ce mécanisme sera dilué sur trop de circuits pour vraiment les renforcer.

 

Quelques conseils pour améliorer ta concentration et ne plus te perdre dans la distraction :

  • Décider que tu vas t’offrir des moments de concentration intense et le faire avec intention : tu choisis de manière consciente et intentionnelle une tâche à accomplir durant un temps donné et tu t’y tiens.
  • Développer des habitudes et des routines qui t’aident à entrer dans un état de concentration : utiliser l’app “Forest” sur ton téléphone pour rendre ces moments de concentration plus fun, te faire un thé ou un café dans ta tasse préférée comme signal positif, méditer quelques minutes avant de te lancer pour diminuer ton agitation interne, etc.
  • Eloigner les distractions prévisibles pour être le moins troublé par elles : éteindre ton téléphone ou le mettre dans la pièce d’à côté, t’isoler de tes collègues si tu es au travail, mettre un message d’absence sur tes emails signalant que tu ne répondras pas dans l’heure si c’est ton habitude, etc.
  • Séparer les moments que tu consacres aux tâches superficielles (traiter tes emails par exemple) des moments que tu consacres aux choses qui demandent vraiment de la concentration : tu sais que les choses superficielles seront faites en temps voulu, mais tu ne les laisses pas déteindre sur ta concentration.

 

Le repos et l’errance mentale sont aussi importants !

Avec tout ça, tu as en ta possession plein de pistes pour reprendre la main sur ton pouvoir de focalisation et diminuer tes troubles de concentration, mais rappelle-toi que ton attention n’est pas illimitée ! Si tu en manques, c’est peut-être aussi parce que tu lui en demandes trop !

Pour être au max de tes capacités, tu as besoin de repos, de moments où tu laisses ton esprit vagabonder, et même de moments d’ennui ! Savais-tu que ces moments d’errance de tes pensées sont parfois les plus productifs en termes de créativité ? N’as-tu jamais fait l’expérience d’avoir plein de nouvelles idées créatives lorsque tu te détends sous la douche ou que tu marches tranquillement dans la nature ?

Laisser des moments de pause à ton mental est tout aussi important que lui réapprendre à se concentrer. Sinon, bonjour la dispersion due à la fatigue

Et ce besoin de déconnexion et de pause mentale n’est pas valable que pour les adultes : les enfants sont aussi victimes du “problème smartphone” ! Si nous les occupons constamment avec quelque chose, nous faisons le lit de futurs problèmes de concentration, car leur cerveau n’apprend pas à gérer l’ennui. Petit conseil aux parents : laisser vos enfants s’ennuyer… Voir un enfant qui a des difficultés de concentration et qui développe de l’anxiété lorsqu’il n’a rien pour s’occuper devrait mettre la puce à l’oreille. L’aider à apprivoiser les temps morts permettra à son cerveau d’être moins friand de distraction et ce sera un vrai plus dans son apprentissage, à l’école notamment.

 

Notre attention a besoin de repos

 

Comment relier concentration et Design humain ?

Bon, nous sommes tout de même sur un site qui parle de Design humain… alors voyons comment certains aspects du Design humain sont en lien avec la distraction et la concentration !

(Si les paragraphes qui suivent sont du charabia incompréhensible pour toi, car tu n’y connais rien en Design humain, je t’invite à consulter cette page d’introduction où tu trouveras plein de pistes pour découvrir ce merveilleux outil de connaissance de soi.)

 

La différence d’énergie des types et le respect de leur stratégie

Le Design humain n’est pas appelé “la science de la différenciation” pour rien : nous sommes tous uniques et différents, et nous avons tous un fonctionnement personnel qui nous différencie de tous les autres.

Notre type en Design humain nous aiguille déjà vers quelques différences, notamment énergétiques. Les personnes avec le centre sacral défini (de type Générateur et Générateur manifesteur) auront de manière générale une énergie plus stable et constance que les autres (Manifesteurs, Projecteurs et Réflecteurs). Et parmi les Manifesteurs et les Projecteurs, certains auront plus ou moins de centres moteurs activés (pour rappel, les centres du Plexus solaire, du Cœur et de la Racine, en plus du centre sacral). Tout ça pour dire que nous ne partons pas égaux en ce qui concerne nos capacités énergétiques.

Quand je parle d’énergie ici, je parle de notre carburant quotidien qui nous permet de nous mettre en mouvement, de faire et de passer à l’action. Une personne avec un schéma corporel produisant davantage d’énergie de manière autonome et intrinsèque en aura logiquement plus pour se concentrer dur et longtemps sur ce qui est important. Mais à une condition : qu’elle investisse cette énergie au bon endroit et au bon moment !

Et les personnes dont les centres définis produisent naturellement moins d’énergie pourront l’emprunter à leur entourage, à condition de bien choisir de qui elles s’entourent.

Dans le Design humain, c’est notre stratégie et notre autorité qui nous aident à définir ce qu’est le bon endroit et le bon moment ! Par exemple :

  • Les générateurs et les générateurs manifesteurs qui suivent la vibration de leur énergie sacrale et qui n’investissent leurs efforts que dans ce qui va les amener à la joie et à la satisfaction, seront logiquement beaucoup plus à même de développer une grande concentration dans ces activités et situations là.
  • Les manifesteurs qui se lancent dans les idées qui leur viennent tout en prenant soin d’en informer leur entourage verront leur concentration bien moins troublée par l’extérieur et ils en seront d’autant plus productifs.
  • Les projecteurs qui ne s’engagent qu’avec des personnes qui reconnaissent vraiment leurs qualités se retrouveront dans des situations où ils se sentiront bien et où ils pourront donner le meilleur d’eux-mêmes.
  • Les réflecteurs qui font attention à leur environnement autant physique que social créeront les conditions parfaites autour d’eux pour se donner toutes les chances de pouvoir se concentrer.

 

Les lignes de profils qui aiment se concentrer les neufs centres énergétiques du Human Design

Dans les profils décrits par le Design humain, certaines lignes ont une propension naturelle à la concentration. Par exemple :

  • les lignes 1 ont naturellement besoin d’étudier et d’explorer à fond ce qui les intéresse, ce qui ne peut être fait que si on se concentre de manière intentionnelle et efficace ;
  • les lignes 2 possèdent des talents naturels qu’elles ont besoin de cultiver avec concentration, mais une condition leur est nécessaire : la solitude. Le monde extérieur leur paraît dérangeant de prime abord, jusqu’à ce qu’elles y trouvent un appel qui résonne avec leur intérieur.

 

Les portes, canaux et centres liés à la concentration

Et pour finir, certaines portes représentent de vrais dons quand il s’agit de trouver la concentration, par exemple :

  • La porte 20 dans le centre de la gorge : cette porte 20 est la porte du maintenant. C’est une porte de présence qui dit “Je suis là”, ici et maintenant, quand elle fonctionne de manière harmonieuse. Avec cette porte activée, on a la capacité d’être simplement absorbé et focalisé dans le moment présent.
  • La porte 9 dans le centre sacral : cette porte 9 est la porte des détails. Elle représente la capacité à se concentrer sur les détails pour déterminer ce qui est correct ou non. Avec cette porte activée, une personne possède la détermination nécessaire pour concentrer son énergie sur une seule chose.
  • La porte 9, lorsqu’elle est reliée à la porte 52 dans le centre de la racine, forme le canal de la concentration porteur d’une énergie de détermination à rester concentré.

Concernant les centres, c’est surtout les deux centres du mental, la Tête et l’Esprit, qui peuvent influencer notre capacité de concentration. Puisqu’ils représentent notre capacité mentale à engendrer ou recevoir des idées et de l’inspiration, puis la manière dont nous allons gérer cette information, ce sont des dynamiques qui peuvent se mettre au service de notre concentration ou au contraire causer des troubles ! Penser beaucoup peut être un atout quand on sait focaliser cette puissance de pensée sur une chose productive, ou un vrai obstacle quand ces pensées nous détournent de notre intention première… Un centre de la tête qui ne fonctionne pas très bien par exemple aura tendance à être dissipé et à voir sa concentration troublée. Mais d’autres centres peuvent entrer en jeu : prenons un centre de la racine ouvert qui fonctionne dans le non-soi. Cette racine poussera son propriétaire à faire vite, vite les choses au détriment souvent de la qualité de ce qui est produit, et sa concentration sera parasitée par la pression à faire vite et à vite terminer ce qui est en cours !

Voilà, c’était un échantillon du regard que le Design humain peut nous aider à poser sur nos problèmes de concentration et nos troubles liés à la dispersion. Il y aurait évidemment bien plus à dire, mais l’analyse d’un schéma corporel en Design humain est une chose complexe et les caractéristiques personnelles qu’on peut en apprendre sont souvent des questions d’interaction entre divers aspects et non la description d’un seul élément du schéma, ce qui rend l’exercice difficilement faisable dans un article comme celui-là !

 

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10 Commentaires

  1. Stéphanie Porée

    Merci pour cet article de qualité et très complet. Il est de notre responsabilité de nous discipliner pour rester concentré dans ce monde où la distraction est partout. Ce n’est pas toujours facile, mais tellement bénéfique dans notre quête de sens.

    Réponse
    • @HDAline

      Merci pour ton message Stéphanie !

      Réponse
    • Fanta

      Hyper intéressant, merci.La concentration n’est pas mon point fort. Je vais essayer tes astuces. En préparation mentale on travaille aussi sur les routines et les marqueurs, je les avais un peu laisser de côté je vais y revenir. Merci ☺️

      Réponse
    • Stéphanie

      Un grand merci pour la richesse du contenu.
      C’est passionnant.
      Le HD a croisé ma route la semaine dernière.
      C’est en creusant que je vous ai découverte.
      Je suis preneuse d’information sur la question de la concentration car maman d’un ado HPI en grande difficulté sur ce point.
      A bientôt

      Réponse
      • @HDAline

        Merci pour ton retour Stéphanie ! J’aurais de la peine à te conseiller de manière spécifique au HPI au sujet de ton ado, n’étant pas spécialiste de ce diagnostique, mais tu trouveras sûrement des points intéressants pour prendre soin de lui dans son schéma de Design humain. A ta disposition si tu le désires 🙂

        Réponse
  2. Adrien

    C’est un article très interessant et avec un joli style d’écriture. Il est vrai qu’aujourd’hui tout nous pousse à la surcharge mentale. Travailler 5j/7 nous encombre constamment l’esprit et il est très difficile d’en sortir ! Merci à toi pour ce moment très interessant.

    Réponse
    • @HDAline

      Merci pour ton retour Adrien 🙂

      Réponse
  3. Bastienne

    Super article, j’aime bien comme tu écris. J’ai appris le bénéfice de la dispersion et son côté “naturel”, autant par le fonctionnement du cerveau que par des pistes plus individuelles de fonctionnement décodées grâce au DH.
    Et en effet, tout nous pousse à la distraction, et c’est parfois hyper dur de me discipliner.

    Réponse
    • @HDAline

      Merci pour ton retour Bastienne !

      Réponse

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